Pour tout savoir sur l’acier et ses utilisations

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Le projet concerne d’un hôtel situé à quelques centaines de mètres du château de Versailles, pour une agence de communication. Le projet réunit : un hôtel particulier du XVIIIe siècle situé en secteur sauvegardé et donc soumis au Plan de Sauvegarde et de Mise en Valeur du Patrimoine de Versailles, et un maître d'ouvrage collectionneur d'art contemporain recherchant autant la création que la tradition.

L’extension mono-orientée au sud sur le jardin en longueur vient doubler du pavillon existant. La structure acier surdimensionnée et la brique en façade rappellent la typologie industrielle du XIXe siècle, tout en restant contemporain grâce aux liaisons et assemblages épurés. À l’intérieur, les sols en bois et quartz, les structures et escaliers mixtes bois + acier agrémentent les espaces de vie en lien avec l’existant préservé.

Un fort niveau de cloisonnement associé à des circulations verticales complexes rendait les espaces existants labyrinthiques. Le projet a donc consisté d’une part à repenser entièrement les circulations et les espaces, et d’autre part à ré-imaginer le rapport de la maison à son jardin. Un nouvel escalier métallique fluidifie l’ensemble des quatre niveaux, un balcon extérieur associé à des agrandissements de baies dégage partiellement la façade à rez-de-jardin.

Un pavillon en briques des années 1930. Un couple et ses trois enfants, les aînés ont grandi et sont partis…Les parents et l’enfant restant n’occupent pas pleinement l’espace à leur disposition alors que la maison peine à accueillir les fêtes d’une famille qui grandit. Dans un budget abordable, les architectes proposent un décloisonnement complet au rez-de-chaussée.
Le projet est l’occasion de mettre en valeur la composition et les matériaux de la maison existante. Le métal et le bois se déploient en une coursive suspendue à la façade qui ouvre les espaces de vie vers le jardin.

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La maison est construite entre deux pignons voisins sur la parcelle étroite et pentue d’un ancien potager. Elle est composée de trois blocs en maçonnerie reliés par une partie centrale en zinc s’ouvrant largement sur le jardin en contrebas, permettant un jeu de terrasses.

Photos de Michel Moch

Située au cœur d’une voie privée, dans un îlot de calme et de verdure, cette maison a séduit les architectes par le charme de sa façade, seul témoin rescapée d’une ancienne propriété. Construisant pour eux-mêmes et leurs trois enfants, ils ont imaginé une extension entièrement vitrée inondant de lumière l’intérieur de la maison. Le volume conçu sur une double hauteur a permis de rééquilibrer le rapport jusqu’alors disproportionné entre la maison et les immeubles mitoyens.

Photo de Tendance Floue

Cette maison est située dans un jardin maraîcher en cœur d'îlot. Orienté nord/sud le long d'un ancien mur à pêches et délimité sur trois côtés par de la végétation, le terrain forme un enclos végétal. Cette maison s’étale exclusivement en rez-de-chaussée et occupe la moitié de la surface du terrain. Invisible depuis l’extérieur, sans façade ni statut social, elle n’est conçue que pour être vécue de l'intérieur. Des parois vitrées coulissantes ou repliables s'escamotent intégralement le long de patios et de terrasses de façon à ouvrir l'espace domestique sur le jardin. Des caissons en acier inoxydable réfléchissant la lumière assurent la transition entre intérieur et extérieur

Situé au dernier étage d’un immeuble, cet appartement a été restructuré pour accueillir trois chambres d’enfants sous les toits et faire bénéficier le séjour d’une double hauteur. Les jeux de transparence et le travail des ouvertures offrent de nombreuses perspectives.

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Dans une ancienne usine Schneider du début du XXème siècle divisée en lots bruts pour la plupart, le parti pris de ce loft en duplex a été de rationaliser et d’épurer l’espace pour le rendre  plus lumineux, en travaillant sur la lumière naturelle (caillebotis ajouré, polycarbonate pour la chambre en second jour). Les matériaux utilisés sont bruts afin de conserver au maximum l’esprit initial du lieu. Le mobilier, conçu par l’architecte, a été intégré dès la conception du projet.

Un petit entrepôt au fond d’une cour, avec une seule façade nord, va devenir un lieu d’habitation à part entière. Une toiture courbe va permettre une surélévation. L’accès à cette maison de bois, devenue aussi un lieu de travail, se fait par la terrasse .

La maison est située sur un terrain en pente continue, il a donc fallu travailler la coupe pour avoir une certaine fluidité entre la rue et le jardin (2m50 de dénivelé). Ceci a ainsi été résolu par le recours à des paliers successifs : une entrée à demi niveau, un séjour un mètre au-dessous, et une terrasse qui rattrape le terrain par quelques marches. De plus, le terrain est inondable (puits et petit cours d’eau), ainsi l’apport minimal de maçonnerie dû au choix du métal a permis d’avoir une construction légère sur le sol.